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VOYAGES AU BOUT DES DOIGTS

CINQ TERRE ITALIE

27 Septembre 2007 , Rédigé par ALIZEE Publié dans #VOYAGES


          NOTRE    PETIT    WEEK   END   AUX   CINQ    TERRES

                               EN      ITALIE
2-1.gif

                        


                                               
                                                                


Nous nous étions donné rendez vous vendredi à 17h15 à saint laurent du var chez notre cop de Voyage Forum Hélène et notre guide par la même occasion. Il faut bien dire qu’Hélène " le petit grain de riz " comme elle se prénomme lors de ses trips au bout du monde, pourrait pour se faire de l’argent de poche J ) se faire effectivement guide du coin et plus, car quand un nouveau forumiste ou ami pointe le bout de son nez sur la côte, et bien elle se fait une joie de trimballer le cher élu de droite et de gauche afin de lui faire visiter notre belle région. Quelle chance il a le petit copain parisien à qui chaque recoin des alpes maritimes et du var à été montré J

        AU-DESSUS-DE-VERNAZZA-copie-2.jpg

Donc après avoir fait le plein d’essence de la titine d’Evelyne notre super chauffeur, et avoir essayé en ce qui me concerne lamentablement d’avoir jouée " au laveur de carreaux " afin de rendre le fichu pare prise un peu plus propre, mais sans succés, nous avons entamé notre route en direction de LEVENTO notre point de chûte ou plutôt MONTEROSO où nous avions booké une chambre  dans un Bed and Breakfast se nommant VILLA PIETRA FIORE

 

Bouddha bar, Hotel Coste et cie nous tenant compagnie, tant bien que mal nous avons mis 4 heures pour nous rendre à MONTEROSO, mamamia bonjour les embouteillages du vendredi soir à l’entrée de Gênes,

Petite parenthèse : voilà pas qu’à un moment donné du trajet devinez qui se dandinait sur le bas côté de l’autoroute ?? un canard ! et oui je n’ai pas donné cher de sa peau suite à notre passage

                                                                                                                                 CANARD.jpg

 

                                            

 

Ensuite la nuit étant bien présente, aie aie aie pour trouver MONTEROSO bien caché celui là, virage après virage et bien entendu les indications ne se faisant pas nombreuses.

C’est à dire qu’un coup sur deux on ne les voyait pas venir ces fichus virages, donc ça faisait plutôt drôle, les éclairages se faisant inexistants L et les panneaux prévenants des virages aussi.

 

A 21h30 nous voilà arrivés et pas mécontents de l’être, car dans la nuit allez trouver sous les feuilles le nom du Bed and Breakfast ;) ! ! ! !

Chouette chambre avec kitchinette, salle de douche, mezzanine. Evelnyne et moi avons gravi notre escalier pour nous rendre là haut, où un grand lit nous attendait et un plafond super bas, bonjour la tête !015.gif

Mais oh joie ! car Hélène et Jean Pierre les pauvres ont eu apparemment un lit bien mou où chacun tombait dans le creux du lit, bonjour le dos.

Heureusement nous avions de quoi nous restaurer, pain que j’avais fait dans l’après midi, jambon, vin rosé, saucisson, chips, fruits et cie et tous les petits biscuits qu’evlyne avait apportés et on aurait pu tenir un siège vu le nombre de paquets de gâteaux en tous genres. Puis nous nous sommes affalés dans nos pieux respectifs afin d’être en super forme le lendemain matin.

 

A 7h30 comme les scouts tout le monde debout afin d’aller prendre notre petit déjeuner sur notre jolie terrasse extérieure face à la mer et oui ! entre 8h et 9h et de ce fait décoller pour notre randonnée qui nous ménerait à VERNAZZA.
                                                                                             

Petit déjeuner super copieux, pain, croissants, pêche, yaourt, et cie de quoi attaquer la journée et cela en regardant le soleil pointer le bout de son nez sur la baie de MONTEROSO.

A 9h nous décollions pour notre randonnée, et là un pur bonheur, personne sur le chemin escarpé, une vue d’enfer, un temps d’enfer.

Et …………une alerte aux pompiers, carbinieri et cie J non voulue ! voilà que notre cop Evelyne s’est mise à appuyer sur le bouton rouge 
bouton-rouge.jpgd’une borne pensant qu’il s’agissait d’un truc donnant des renseignements touristiques et comme la miss n’avait pas ses lunettes et bien une seconde plus tard une voix grave s’élevait de la machine, pensant que nous avions besoin d’aide, et nous SCUSI SCUSI SCUSI J

 

Au bout d’une heure trente nous arrivions à VERNAZZA et là OUAH époustoufflée par la beauté du site.



                           VERNAZZA.JPG

Quand on pense que la plupart des gens prennent le train pour se rendre de village en village et bien ils ratent le plus beau, le passage dans les vignes, les jardins potagers riches de tomates, courges, et cie, une vue sur la mer incroyable ! et cette arrivée au village par le chemin de randonnée où tes yeux s’écarquillent de voir tant de couleurs. 1msn-photo.gif

 

Là nous avons acheté notre PASS DE DEUX JOURS nous permettant de prendre les trains, bus, et de continer nos randonnées car LES CINQUE TERRE font partie du patrimoine …………………..  donc les chemins de randonnées sont payants.
                                                                PORT-DE-VERNAZZA-copie-1.JPG

 

 

Nous nous sommes balladés dans ce petit village et oh joie ! nous sommes arrivés avant le débarquement des touristes, disons plutôt l’invasion, car qui aurait cru qu’en cette période de l’année tant de touristes mais pas seulemsent pour le week end, mais avec de grosses valises, des sacs à dos et cie envahiraient les lieux à ce point, les ferries déferlant de gros américains bruyants comme on les connaît si bien !

 

De là nous avons pris un train pour CORNIQLIA, moins de cachet plus petit, différent en un mot.
                                                                          

Mais oh joie un bus nous attendait à la sortie de la gare pour nous mener au CORNIGLIA-copie-1.JPG village sinon nous aurions du nous tapper 377 marches et à vrai dire si on peut éviter ce genre de désagrément autant l’éviter.

Visite assez rapide de CORNIGLIA et par contre les 377 marches nous nous les sommes descendues, mais là les doigts dans le nez évidemment. Et ça ramait dans l’autre sens, faut dire que 377 marches c pas du petit lait surtout sur le coup des midi en plein cagnard, car temps de rêve = soleil de plombs

 et plus de 26°. Jean Pierre s’est grandement tartiné de crème solaire, Parisien un peu blanbec ;)) oblige afin d’éviter les coups de soleil.

Là nous avons amorçé une nouvelle marche mais petite celle là et pas aussi typique et sauvage que la première, mais ceci dit elle nous a amené en longeant tjs le bord de mer au village de MANAROLA. Et là oh stupeur ! que de voir des barques rangées dans la rue principale devant les maisons, les magasins, les restaurants. Faut dire que vu la grandeur du port il faut bien qu’ils les mettent quelque part.

 

Après avoir fait le tour de ce petit village de pêcheurs nous avons emprunté un tunnel d’une centaine de mètres menant au sentier del amore, 050506184511-15.gifet là déception car les murs jonchés de graffitis, quel dommage car en dessous on pouvait discerner de jolies fresques qui a l’origine mettaient en valeur ce passage vers RAMAGGIORE.

 

RAMAGGIORE le dernier des ports des cinq terres, où l’on arrive tout d’abord à la gare et ensuite au port et là toujours des barques rangées un peu partout, mais le clou du spectacle fût la vue en chair et en os du père noël ;) ah vous aimeriez bien savoir ? ? et bien allez donc sur BELLAPIX voir mes photos et vous le verrez.
Vous allez sur LES EXPOS, vous cliquez sur NOM DE L AUTEUR  et là vous entrez ALIZEEDEL1

Là en fin d’après midi la fatigue commençait à se faire sentir, les mollets à se durcir et en ce qui me concernel le genoux gauche à me lâcher dans les descentes ! J’aurais pu monter 1000 marches mais en descendre ne serait-ce que 20 un vrai calvaire ! quand ça coince ça coince.

 

Mais ces chers mollets et ce cher genoux ont eu tout le temps de se reposer ! car on a poireauter un bon moment à la gare en attendant la venue de notre cher train pour revenir sur MONTEROSO.

Jean Pierre avait beau sentir le vent avec son doigt ;) tel un grand chef indien pour savoir de quel côté venait le train (car grand tunnel oblige, il y a un appel d’air ou du moins le contraire qui fait que lorsqu’un train approche, un grand vent se déclenche !) et oui j’aurais appris quelque chose.

                                                                                    nature-soleil-5.gif

Mais là à l’ouest on e vit rien venir pendant un bon bout de temps ou alors un rapide de chez rapide qui nous passait devant le nez à une vitesse vertinigeuse.

 

Enfin l’élu arriva et 15 minutes plus tard en faisant attention de ne pas s’endormir dans le train …….on arriva à MONTEROSO où on s’est promené le long de la plage encore bien chargée de touristes venus se bronzer la pilulle. Charmant aussi MONTEROSO différent mais très agréable et là on s’est installé à une terrasse afin de nous désaltérer d’autre chose de plus sympa que d’eau. Un bon petit blanc pour Jean pierre et moi, et des jus de fruits pour Evelyne et Hélène. Et …….. de drôles d’olives vertes avec une queue de cerise ? ? ? ? super bon aigre doux mais kes ke ça pouvait bien être, et bien vous m’en direz tant ! des câpres ! moi qui haît les câpres comme koi, ça dépend vraiment de la préparation.

 

Ensuite nous sommes partis à la recherche d’un restaurant, et pastas obligent, ablog-pasta.gifmoi j’ai donné dans les spaguettis à la vongole et mes coéquipiers dans spaguettis marinara, sauf que augmentation du prix du blé = augmentation du prix des pâtes = restriction sur la quantité de spaguettis L surtout que lorsque l’on prend à trois et bien pour sur on se retrouve avec des portions plus petites puisque le plat contenait les pastas pour trois personnes L

 

Bien fatigués on s’est ensuite dit que l’on allait prendre le petit bus vert afin de remonter à notre Bed and Breakfast. Sauf que ! on ne l’a pas vu le petit mini bus et du coup on s’est dit que ce n’était pas si loin. Mais à chaque virage dans les montées on se disait c pas loin mais on a du en enchainer au moins cinq des virages et chacun après une belle et grande montée au clair de lune. Faut dire qu’avec ce que l’on avait dans les pates et bien 4kms en plus en montées dans le noir à la lueur de la lune on s’en serait bien passé.

 

On est ENFIN arrivé sur les rotules et là un verre d’eau , une bonne douche, et au lit directos complétement vannés.L

 

Le lendemain frais et dispos à 7h30 tout le monde debout, à 8h au petit déjeuner face à la baie aux chants des petits oiseaux ablog-colibri-.gifet à 9h nous décollions à pied en descendant cette fois la route que nous avions gravie la veille sous la lune afin de prendre le bâteau pour PORTE VENERE.

Chaleur chaleur dès le matin, un monde pas possible pour embarquer et une heure plus tard nous voilà à bord de l’un des très nombreux ferries faisant escales dans les divers villages afin de débarquer le flôt de touristes de toutes sortes et d’en embarquer d’autres. Et des ferries venant de droite et de gauche et bien la mer en était bien chargée. On se serait cru en plein mois d’août, kes ke ça doit être en plein été ???

 

Ce périple en mer quel bonheur, moi à la proue du bateau comme d’habitude car j’adore ça, l’appareil photo et le camescope en action à tour de rôle j’en prenais plein les yeux. Hélène Jean Pierre et Evelyne ayant peur de crâmer s’étaient gentiment installés à l’intérieur du bâteau. Vue de la mer ces petits villages avaient un cachet tout différent et celui qui de terre nous était apparu le moins beau CORNIGLIA de la mer était sublime.

 

Puis une heure plus tard nous voilà en vue de PORTO VENERE, un fort s’         

          PORTO-VENERE-PORT.JPG                                              élevant devant nous 

au dessus de la falaise. Et lorsque l’on a abordé le virage pour rentrer du Golfe un magnifique autre village aux multitudes de maisons colorées apparu, un genre de petit St Tropez, plus simple, donnant sur un superbe port où de nombreuses barques de toutes les couleurs se balançaient doucement sous les vaguelettes occasionnées par les yachts voiliers sortant du port. J’ai adoré cette arrivée sur PORTO VENERE. Bien évidemment comme vous pouvez vous en doutez nous n’étions pas les seuls, les ferries débarquant leur lot de visiteurs. Nous sommes montés au Fort et là on se serait un peu cru à Tiotihuacan au Mexique à l’heure de grande visite. C pas grave on a vite fait abstraction de tous ces groupes pour la plupart des retraités et de là haut un magnifique panorama s’est ouvert à nous sur le golfe d’un turquoise éblouissant aux nombreux points blancs qu’étaient tous les bateaux sortant du port.
                                                                                         PORTO-VENERE.JPG            

 

Ce que j’ai ramené de PORTO VENERE et non ! ce ne sont pas des cartes postales ou objets divers mais de nombreuses piqûres de moustiques. Faut dire que mon éternel besoin pressant se faisant de plus en plus sentir la première toilette ou ce qui y ressemblait fît l’affaire mais là les moustiques m’y attendaient de pieds fermes.

Après la visite du Fort nous nous sommes balladé dans le village avant de reprendre un bus pour LA SPEZZIA afin de prendre le train qui nous raménerait sur MONTEROSO. Quelle chance le bus était là, un peu galère pour se procurer un ticket à la machine automatique, tout écrit en italien, mais Hélène calme comme à son habitude, réussi à nous obtenir les fameux tickets alors que mo je pestiférais dans tous les sens ayant une peur bleue que notre bus s’en aille sans nous. Jean Pierre lui s’était gentiment assis dans le bus.

Le bus entrepris sa route vers LA SPEZZIA à toute allure, et nous dûmes nous accrocher dans les virages pour ne pas attérir au milieu de l’allée.msn-gren-2.gif

 

A LA SPEZZIA A le train en question était là et d’après la guichettière allait partir d’une minute à l’autre. On s’est mis à courire à toutes jambes de peur de le râter et tout haletant on s’éffala sur nos sièges. Ca ne valait pas le coup qu’on se dépêche comme des dératés car l’on attendit bien 10 minutes avant qu’il ne décolle !

 

Arrivés à MONTEROSO voilà pas qu’une petite faim nous pris, mais pas le temps d’aller s’installer dans un resto et par contre impossibilité de trouver en deux temps trois mouvements un sandwich "décent" J si je dis cela c ‘est que je ne veux plus entendre parler d’un panini en Italie ! chez nous les paninis c un vrai bonheur, un bon sandwich chaud, du fromage dégoulinant et cie. Là il s’agit d’un pain pas bien engageant où à l’intérieur ils glissent un semblant de fromage et de jambon, secos à souhait.msn-bon.gif

 

Et bien on s’est dit que l’on ferait avec nos restes de provisions soit les chips le saucisson le vin rosé et l’orangina.
Cette fois ci le petit bus vert était bien là et oh joie on s’est empressé de grimper dedans n’ayant aucune envie de se retapper la montée de 4 kms en plein cagnard cette fois ci que nous étions tappée la veille au clair de lune. Une fois arrivés à notre voiture on s’est jeté comme pauvreté sur le monde sur les chips et autres restes de victuailles.

 

On a pris la route gentiment sur le coup des 16h et là allez savoir pourquoi on s’est retrouvé dans une forêt de pins, pas tout à fait la même route qu’à l’aller, de nombreux virages et oui encore et encore et oh stupeur ! cette fois ci ce ne fût pas un canard qui se balladait sur la route mais un mouton en plein milieu de la chaussée !Heureusement qu’Evelyne qui est une parfaite conductrice allait doucement sinon nous aurions fait un beau carnage.

Au retour sur l’autoroute un peu d’embouteillages en arrivant sur Gênes mais ensuite une route fluide où les italiens s’en donnent à cœur joie pour appuyer sur le champignon.

Bizarre pas de voiture 06 ou 83 ou même françaises, d’ailleurs sur place non plus là bas. Faut dire que l’on a pas beaucoup entendu parler français mais surtout anglais, des tonnes d’américains. Pourtant avec le change euros dollars ??? et bien apparemment ça ne les rebûtent pas de venir.

 

Conclusion ! UN SUPER WEEK END UN SUPER TEMPS UNE SUPER CIE ET HATE QUE L ON RECOMMENCE

VIDEO  PORTE VENERE

Difficulté assez élevée - KM 4.8 - 2h 15’
Le sentier relie Portovenere au hameau de Campiglia (m 400 d’hauteur) et commende son parcours de la célèbre place Bastreri. Le premier bout est caractérisé par un escalier assez escarpé au début, mais qui devient plus facile en remontant . La promenade offre des panoramas à couper le souffle, avec vue sur les îles de la Palmaria et du Tino e sur toute la côte. Le chemin poursuit jusqu’à Campiglia, où on peut trouver un luxuriant maquis méditerranéen et la tour d’un moulin à vent.


                                          


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SENTIER 1/1 - PORTOVENERE – CAMPIGLIA

SENTIER 1/2 - CAMPIGLIA - TELEGRAFO

SENTIER 1/3 - TELEGRAFO – LA CROCE

SENTIER 01 - LA CROCE - RIOMAGGIORE

Difficultée moyenne - KM 2,5 - 2h environ
On commence avec une descente sur un terrain (pas asphalté ?) , le terrain "dei Santuari", qui s’elarigit après pour devenir poi une large piste en terre battue. Le sentier continue entre des vignes et des bois, jusqu’à l’agglmération Riomaggiore et à son célèbre château.

 

De Riomaggiore se départ le sentier le plus connu des Cinq Terres.

LA VIA DELL’AMO

SENTIER 06 - MANAROLA – SELLA DI MONTE MARVEDE

Difficulté moyenne - KM 3,8 - 2h 30’
Le prémier bout de ce sentier coïncide avec le Sentier 6 jusqu’à la forche de Pì de Fiesse, d’où commence un escalier qui se dénoue parmi les vignes et débouche sur le terrain "dei Santuari", au milieu d’un forêt de pins et de marroniers. Après, la montée se fait plus escarpée, pour arriver enfin à la localité Costa Galera (m 729 slm) où le chemin se réunit avec le Sentier 1.

 

SENTIER 02 - MANAROLA – SELLA DI MONTE GALERA

Difficulty: medium - KM 3,8 - 2h 30’
The first part of the track coincides with the Footpath 06 until the fork of Pì de Fesse from where it leaves a steep staircase going through the vineyards. The staircase finishes into the "Sanctuaries path" among pines and chestnut trees: at this point the climb grows in order to reach finally the Costa Galera (729 metres above sea level), where the path reunites with the footpath 1.

 

SENTIER 2/2 - MANAROLA – CORNIGLIA

Difficulté modérée - KM 1 - 1h
On part de la Gare de Manarola en traversant le tunnel pour arriver au bord de la mer, d’où on peut choisir de remonter par l’ancien pavé ou encore de parcourir la promenade le long de la mer jusqu’à la cale de Palando. D’ici on remonte jusqu’au croisement avec le Sentier 02 pour poursuivre après, en longeant la grande plage de Corniglia. A mi chemin on rencontre un pont en fer, qui a été construit pour réunir les deux bouts du chemin, séparés par un éboulement.
Le sentier continue après jusqu’à l’escalier "Lardarina", qui mène à l’agglomération de Corniglia.

 

SENTIER 2/3 - CORNIGLIA - VERNAZZA

Difficulté modérée - KM 4 - 1h 30’
Le sentier commence du centre de Corniglia pour monter jusqu’à une grande oliveraie, d’où on peut jouir d’une émouvante vue panoramique. Le chemin traverse après la cuve de Guvano et remonte à nouveau jusqu’au bourg de Prevo (m 208 slm) où on peut se restaurer. Après, on déscend vers Vernazza par un éscalier, en traversant un maquis d’agaves. Dans le dernier bout, on rencontre aussi une petite tour médiévale.

 

SENTIER 2/4 - VERNAZZA - MONTEROSSO

Difficulté moyenne - KM 3 - 2h
Le sentier part de Vernazza, entre des vigne set des oliviers, et continue, dans le prémier bout, entre 150 et 200 mètres d’hauteur, à travers la vallée Cravarla. Il poursuit, après, vers Costa Linaro et la petite vallée de Fosso Mulinaro, où les fréquents incendies ont changé radicalement le paysage. La vallée suivante, appellée vallée de l’"Acquapendente", est une sort de petite oasis, ancore aujourd’hui cultivée à legumes, citrons et raisin. De là on descend rapidement vers le village: le sentier se bifurque, et on peut choisir de descendre directement dans le bourg, près de la place Garibaldi, en tournant à gauche, ou bien aller vers la plage et les falaises, à droite.

Lignes de chemin de fer qui desservent les Cinq Terres:

 

A la sortie "La Spezia - S. Stefano Magra ", prenez la route publique S.S. n°370 "Litoranea delle Cinque Terre" et, après avoir dépassé La Spezia (5 km di superstrada) poursuivez le long de la côte en direction Cinque Terre - Portovenere.
Après l'arsenal militaire de La Spezia le chemin se bifurque: de là, on avance en remontant vers Manarola-Riomaggiore. On croisera, l’un après l’autre, les villages de Riomaggiore, Manarola, Corniglia, Vernazza, Monterosso.

L’agglomération la plus occidentale des Cinq Terres est divisé en deux parties par la colline de Saint Christophe, qui sépare la partie ancienne, datant du Moyen Age, du quartier résidentiel moderne, qui s’étend le long de la plage, sur le littoral.
L’origine historique de ce bourg remonte au 643, quand les populations des collines, en fuyant des invasions barbares, s’établirent au bord de la mer. L’ancien Monterosso, resté pratiquement intact avec ses caractéristiques maisons-tours, est traversé par des ruelles étroites. Ayant été dans l’antiquité théatre de nombreuses batailles sur la mer, le bourg est caractérisé par la presence d’un imposant système défensif comprenant un château à pic sur la mer, avec trois tours à plan rond, certains traits d’un ancien mur de clôture, une quatrième tour médievale qui est aujourd’hui le clocher de l’église de Saint Jean, et la tour Aurora, reste de la série de treize qu’autrefois entouraient le village. Le moderne quartier résidentiel, par contre, se situe au bord de la mer, au long de la baie de Fegina. La verdure, qui entoure le bourg comme dans une embrassade, aussi bien que la plage, entre les plus longues de la région, et les merveilleux rochers et falaises plongeant dans les eaux cristallines de la Méditerranée, font de ce petit village l’un des plus charmants de la Ligurie orientale.Anciennement, Monterosso était aussi très connu pour la pêche au thon, pour les anchois salés et le " scabeccio ", un type de poisson, qu’on faisait frire et qu’on conservait sous vinaigre dans des barriques en bois.Fondé vers l’an mil, Vernazza est le bourg des Cinq Terres qui a mieux conservé l’aspects d’un ancien village de pêcheurs, grâce à son petit port situé dans une anse naturelle ainsi qu’à une tradition marinière qui date de l’antiquité. Le village se développe au long du torrent Vernazzola (à présent couvert) et rémonte ensuite les coteaux d’unrocher qui cache l’agglomération à ceux qui y arrivent de la mer. Des chemins très escarpés déscendent vers la route principale, pour atteindre une petite place située en face du port. La presence d’architectures prisées et de nombreux éléments décoratifs, et notamment de porches, d’arcades et de loges, témoignent que le village avait anciennement un niveau de vie plus élevée par rapport aux autres bourgs des Cinq Terres.Le bourg de Coniglia est très différent des autres, du fait qu’il se dresse sur le sommet d’un promontoire à pic au-dessus de la mer, à une centaine de mètres d’hauteur. Pour rejoindre le village, il faut remonter la " Lardarina ", un escalier en briques constitué de 33 rampes avec 377 marches, ou bien parcourir un chemin carrossable, qui mène de la gare au centre. L’agglomération s’étend au long de la route principale, via Fieschi ; les maisons donnent sur la rue d’un coté, sur la mer de l’autre.Accrochée sur un raide promontoire de pierre foncée, avec son petit port à l'abri du vent, au milieu d'un golfe paisible se trouve Manarola. D'ici, en remontant vers l'arrière-pays, on peut admirer les typiques étagements entourés de murs à sec; en descendant vers la mer, par contre, on peut faire de suggestives promenades ou jouir d'une vue magnifique sur la côte. Le sentier le plus connu, c'est la Via dell'Amore, qui relie Manarola et Riomaggiore. En parcourant ce bref chemin, le regard du visiteur a l'opportunité de flâner du vert des collines à l'azur du ciel et de la Méditerranée.
A ne pas louper, la grande crèche lumineuse qui occupe la plupart de la colline de la "Collora", près du village.Riomaggiore est le prémier village qu'on rencontre en arrivant de La Spezia. En raison de son développement vertical, le bourg est traversé par des escaliers qui se ramifient autour des maisons aux toits d'ardoise, adossées l'une à l'autre et peintes avec les couleurs typiques de la région. Au dessous de la voie pricipale coule le torrent Rivus Maior, qui donne son nom au village.
A Riomaggiore commence la célèbre Via dell'Amore (Promenade de l'Amour), un sentier creusé dans la roche, en surplomb sur la mer. Parcourir le romantique chemin qui mène vers Manarola, c'est une expérience unique: on peut admirer des paysages à couper le souffle, écouter le bruit des vagues qui se cassent sur les falaises, respirer l'air saumâtre.Ligne Roma - Genova - Torino
Ligne Bologna - Parma - Genova
De La Spezia, des trains régionaux qui desservent tous les villages des Cinq Terres partent toutes les 40 minutes. En arrivant de la gare de La Spezia, le prémier bourg des Cinq Terres qu’on rencontre est Riomaggiore.
Consultez les horaires sur: www.trenitalia.com

Difficulté moyenne - KM 3 - 2h
Le sentier part de Vernazza, entre des vigne set des oliviers, et continue, dans le prémier bout, entre 150 et 200 mètres d’hauteur, à travers la vallée Cravarla. Il poursuit, après, vers Costa Linaro et la petite vallée de Fosso Mulinaro, où les fréquents incendies ont changé radicalement le paysage. La vallée suivante, appellée vallée de l’"Acquapendente", est une sort de petite oasis, ancore aujourd’hui cultivée à legumes, citrons et raisin. De là on descend rapidement vers le village: le sentier se bifurque, et on peut choisir de descendre directement dans le bourg, près de la place Garibaldi, en tournant à gauche, ou bien aller vers la plage et les falaises, à droite.Difficulté modérée - KM 4 - 1h 30’
Le sentier commence du centre de Corniglia pour monter jusqu’à une grande oliveraie, d’où on peut jouir d’une émouvante vue panoramique. Le chemin traverse après la cuve de Guvano et remonte à nouveau jusqu’au bourg de Prevo (m 208 slm) où on peut se restaurer. Après, on déscend vers Vernazza par un éscalier, en traversant un maquis d’agaves. Dans le dernier bout, on rencontre aussi une petite tour médiévale.Difficulté modérée - KM 1 - 1h
On part de la Gare de Manarola en traversant le tunnel pour arriver au bord de la mer, d’où on peut choisir de remonter par l’ancien pavé ou encore de parcourir la promenade le long de la mer jusqu’à la cale de Palando. D’ici on remonte jusqu’au croisement avec le Sentier 02 pour poursuivre après, en longeant la grande plage de Corniglia. A mi chemin on rencontre un pont en fer, qui a été construit pour réunir les deux bouts du chemin, séparés par un éboulement.
Le sentier continue après jusqu’à l’escalier "Lardarina", qui mène à l’agglomération de Corniglia.Difficulty: medium - KM 3,8 - 2h 30’
The first part of the track coincides with the Footpath 06 until the fork of Pì de Fesse from where it leaves a steep staircase going through the vineyards. The staircase finishes into the "Sanctuaries path" among pines and chestnut trees: at this point the climb grows in order to reach finally the Costa Galera (729 metres above sea level), where the path reunites with the footpath 1.Difficulté moyenne - KM 3,8 - 2h 30’
Le prémier bout de ce sentier coïncide avec le Sentier 6 jusqu’à la forche de Pì de Fiesse, d’où commence un escalier qui se dénoue parmi les vignes et débouche sur le terrain "dei Santuari", au milieu d’un forêt de pins et de marroniers. Après, la montée se fait plus escarpée, pour arriver enfin à la localité Costa Galera (m 729 slm) où le chemin se réunit avec le Sentier 1.KM 1 - 25 Min.
Le sentier le plus connu en raison de sa beauté et de son accessibilité est la "Via dell’Amore", c’est à dire le premier bout de l’aussi célèbre Sentier Azur.
La "Via dell’Amore" commende avec un escalier situé sur la place de la Gare F.S. de Riomaggiore pour continuer en longeant la côte, jusqu’au village de Manarola. Le parcours du sentier, presque plat, traverse des paysages variés, au milieu de la végétation méditerranéenne.
Le Sentier Azur, dont la "Via dell’amore" est le premier bout, faisait fonction de chemin d’accès à la Poudrière, d’où venaient les explosifs utilisés pour la construction de la voie ferrée Genova – La Spezia. La Via dell’Amore est aussi accessible du village de Vernazza, auquel elle est relié par un chemin direct.Difficultée moyenne - KM 2,5 - 2h environ
On commence avec une descente sur un terrain (pas asphalté ?) , le terrain "dei Santuari", qui s’elarigit après pour devenir poi une large piste en terre battue. Le sentier continue entre des vignes et des bois, jusqu’à l’agglmération Riomaggiore et à son célèbre château.Difficulté moderée - KM 3 - 1h
De Telegrafo, site panoramique sur le golfe de La Spezia, on peut suivre le sentier qui mène vers la colline Bramatane, où on peut voir l’interessante ruine d’une forteresse militaire. En poursuivant, on peut atteindre le col de La Croce (m 637 d’hauteur), d’où on peut continuer en direction ouest, ou bien descendre vers Riomaggiore par le SENTIER 01.Difficulté moderée - KM 3.2 - 1h
Ce sentier commence du hameau de Campiglia et se dénoue le long d’une piste assez plate, entourée par des chênes. Il continue après jusqu’à la localité Telegrafo (m 513 d’hauteur).

KM 1 - 25 Min.
Le sentier le plus connu en raison de sa beauté et de son accessibilité est la "Via dell’Amore", c’est à dire le premier bout de l’aussi célèbre Sentier Azur.
La "Via dell’Amore" commende avec un escalier situé sur la place de la Gare F.S. de Riomaggiore pour continuer en longeant la côte, jusqu’au village de Manarola. Le parcours du sentier, presque plat, traverse des paysages variés, au milieu de la végétation méditerranéenne.
Le Sentier Azur, dont la "Via dell’amore" est le premier bout, faisait fonction de chemin d’accès à la Poudrière, d’où venaient les explosifs utilisés pour la construction de la voie ferrée Genova – La Spezia. La Via dell’Amore est aussi accessible du village de Vernazza, auquel elle est relié par un chemin direct.

Difficulté moderée - KM 3 - 1h
De Telegrafo, site panoramique sur le golfe de La Spezia, on peut suivre le sentier qui mène vers la colline Bramatane, où on peut voir l’interessante ruine d’une forteresse militaire. En poursuivant, on peut atteindre le col de La Croce (m 637 d’hauteur), d’où on peut continuer en direction ouest, ou bien descendre vers Riomaggiore par le SENTIER 01.

Difficulté moderée - KM 3.2 - 1h
Ce sentier commence du hameau de Campiglia et se dénoue le long d’une piste assez plate, entourée par des chênes. Il continue après jusqu’à la localité Telegrafo (m 513 d’hauteur).

Difficulté assez élevée - KM 4.8 - 2h 15’
Le sentier relie Portovenere au hameau de Campiglia (m 400 d’hauteur) et commende son parcours de la célèbre place Bastreri. Le premier bout est caractérisé par un escalier assez escarpé au début, mais qui devient plus facile en remontant . La promenade offre des panoramas à couper le souffle, avec vue sur les îles de la Palmaria et du Tino e sur toute la côte. Le chemin poursuit jusqu’à Campiglia, où on peut trouver un luxuriant maquis méditerranéen et la tour d’un moulin à vent.

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très belle balade et très bien dovcumentée. Vivant en Italie depuis longtemps j'ai eu l'occasion d'y aller...
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A
merci, mais quel dommage que je n'ai pas un meilleur appareil car la qualité est médiocre, allez je vais jeter un coup d'oeil à ton blog, bye bye